Puma Football Boots 2016 : These numbers account for the risk of turning the ball over or not scoring at all versus the reward of scoring a touchdown
Hermes Galaxy Note 3 Wallet Case : Many have responded very well to the introduction of the Microsoft Surface Pro 3 and with the looming Surface Pro 4, even much better are expected, especially with the gadget expected to come with loads of new features
Li-Kou : J'ai adoré nourrir les ptit poissons un peu plus haut :D
elixir : coucou! oui, le monde est petit en effet ^^ merci pour le tag, @+!
leaderw : ok no prob alors. C'est juste que j'hésitais à savoir si tu avais bien ou mal pris. tout est ok alors ^^ A bientot
leaderw : Salut ! Désolé pour ton frangin Régis. Mon article était juste un clin d'oeil à d'autres articles de mon blog et au personnage des Nuls. Il ne faut pas le prendre mal. Tout ce qui est mis sur mon blog est à prendre au second degrés ^^! Là je vais dormir mais je reviendrai visiter ton ptit blog !
Mon-ange-que-j-aiMe : C'est dommage que tu l'ai effacé,pourquoi as-tu fais ca???Enfin si tu ne me répond pas pas grave.Enfin bonne continuation dans ta vie, Lovetéa(sur mab ;) )
seule-a-seul : J'aime beaucoup ton blog, bonnne continuation
worldofangels : merci pour ton commentaire sur ton blog :D Le tiens est pas mal ;)
Dotty : Dotty: (alias botanik) il es super ton bleug!
C'est d'abord le titre d'une célèbre chanson des T-Rex, une chanson qui déménage. Mais c'est aussi le titre de la série du manga génialissime de Naoki Urasawa ; la chanson symbolise d'ailleurs le manga éponyme.
Si je n'ai pas donné de signe de vie depuis quelque temps, c'est parce que j'étais plongée à fond (et je dis bien à fond) dans ce thriller hallucinant, où l'on trouve une kyrielle de personnages fort attachants.
Le thème pourrait se résumer ainsi : "que se passerait-il si les histoires de gosses venaient à se concrétiser ?" les enfants qui avaient autrefois écrit un cahier de prédictions, selon lequel la Terre devait subir une terrible attaque terroriste le 31 décembre 2000, n'auraient jamais pensé que les événements imaginés se réaliseraient. Morts suspectes, attaques bactériologiques, attentats et disparitions étranges s'enchaînèrent durant les années 1990, toutes orchestrées par un dénommé Ami, personnage énigmatique meneur d'une organisation -on dira plutôt une secte- à forte influence. Ce dirigeant charismatique a pour but de gouverner le monde -rien que ça !- et utilise comme signe de ralliement le symbole que la bande d'enfants avait crée autrefois, au début des années 1970.
Chose sûre, cet "Ami" connaissait ce fameux cahier de prédictions lorsqu'il était enfant. Mais pour les héros devenus adultes, la question demeure : QUI est "Ami" ? Et pourquoi en est-il venu à commettre tous ces crimes à échelle mondiale?
Mon résumé est très simplifié, car l'histoire n'en demeure pas moins des plus complexes. C'est dingue la multitude de personnages que l'on peut rencontrer en 19 tomes ; les va-et-vient dans le temps, sur une période de près de 50 ans sont très bien maitrisés et maintiennent le lecteur en haleine à la fin de chaque tome. On veut toujours en savoir plus ! Et aussi le rock est un élément important dans toute la série, sachant que le héros, Kenji, rêvait d'être guitariste et l'on retrouve des références aux Beatles, John Lennon, Bob Dylan, Creedence Clearwater Revival, CSN&Y, Jimi Hendrix...et bien sûr T-Rex. D'où le titre de la série. J'ai même été ravie de lire que Kenji citait Marillion dans un des derniers tomes! Mais chut, j'en dis pas plus :o)
Bref, si vous ne lisez pas ce fantastique manga, vous raterez quelque chose. Je vous le dis, c'est une vraie drogue, mais une bonne, car on en apprend pas mal sur la culture japonaise, que ce soit à travers les dessins (superbes et très réalistes) ou les références citées. Selon moi, 20th Century Boys est l'un des meilleurs mangas qui existe, et il me tarde la sortie du tome 20, prévue pour septembre. En tout 22 tomes sont prévus.
Mon article arrive un peu en retard, mais je n'avais pas d'ordi à ma disposition la semaine dernière.
Déjà plus d'une semaine que Syd Barrett, le leader spirituel de Pink Floyd à ses débuts, est décédé. Le 7 juillet à 60 ans, suite à des complications liées au diabète (une maladie qui me fout franchement les boules, tant elle est sournoise). Je ne peux m'empêcher de lui rendre hommage, car j'adore ce groupe...et ses chansons déjantées comme Bike ou see Emily Play, plus proches de la comptine que du tube rock. Quoiqu'on en dise, Syd barrett, de son vrai nom Roger Keith Barrett restera l'un des artistes les plus singuliers et créatifs de toute l'histoire du rock. Pendant quarante ans, après avoir quitté Pink Floyd pour troubles du comportement liés aux drogues, il aura vécu paisiblement en tentant de tirer un trait sur son passé "floydien". Malgré tout, le public ne l'aura pas oublié notamment grâce aux chansons Wish you were here (également le titre de l'album sorti en 1975) et Shine on you Crazy Diamond, un hommage rendu par le groupe qui ne l'a pas abandonné et l'a aidé à produire ses albums solo au début des années 1970.
Pour celles et ceux qui veulent connaître l'histoire de Pink Floyd, je vous conseille de lire ce livre, de Nick Mason, le batteur du groupe. Je n'en ai pas décroché tellement c'est bien écrit.
^v^
Ce qui me gonfle c'est tout le tapage médiatique qui revient de façon cyclique et qui profite au commerce suite à la mort de Syd.
Mon séjour en famille en Aveyron et la visite de ses églises m'a fait absenter pendant quelque temps de mon cher bleug. Je ne m'attarderai pas là-dessus, encore moins sur les vaches à côté de chez nous qui nous ont fait un cadeau empoisonnant : l'invasion de mouches perverses.
Bref, toutes ces églises m'ont fait penser que je n'avais pas encore abordé la question de la religion liée à la musique. J'avoue que la musique d'église ne m'a jamais incité à la fréquenter, elle m'a même plutôt fait fuir. Ainsi soit-je. Heureusement, sur cette planète, il y a des personnes qui sauvent l'honneur en prouvant qu'être religieux n'empêche pas d'avoir du goût. La preuve en image.
HS: toujours pas trouvé les pompes de mes rêves, vive les soldes...et la canicule
Je voudrais parler d'un sujet qui provoque des querelles entre mon homme et moi, d'un point de vue musicalement parlant. Qui n'a jamais (ou plutôt a déjà) entendu parler de shred ? Vous savez, les jeux consistant à débouler sur manche de guitare, et qui s'apparentent plus à des parties de branlette qu'à de véritables démonstrations de virtuosité artistique. Et parfois, ça foire juteusement. Le but du shredder (traduire par : "celui qui fait du shred") est d'en foutre plein la vue à l'auditoire en jouant le plus vite possible. Mais pour moi, ce genre de démonstration m'exaspère royalement, car le coeur n'y est pas, seulement la b... ouffonerie de celui qui fait le fier en disant : "regarde-moi ça cocotte, regarde de quoi j'suis capable avec mon manche, héhé! - comme un manche, oué". Est-ce de cette manière que l'on donne goût à la musique ? Hmmm, pas pour tout le monde en tout cas. Bien des musiciens semblent tristement avoir perdu la valeur essentielle de la musique ; ce que l'on appelle couramment le feeling, en un mot, ce que l'on ressent et en retour ce que nous fait ressentir la musique. Il y a cependant des shredders qui m'intéressent. Pour ne pas me dire "Miaou, ne les mets pas tous dans le même plat de nouilles". Je pense à Steve Vai, cité dans un ancien article et qui est un personnage singulier mais aussi John Petrucci, le guitariste de Dream Theater dont le jeu ne me laisse pas tout le temps indifférente. La video ci-dessous, représentant un adepte du genre, le dénommé barbare Yngwie Malmsteen, m'a fait bien rigoler. Je précise que c'est un joli fake.
Et ne me dites pas que j'ai bourré cet article d'allusions sexistes